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[Portrait] Blåkläder, l’enfant “terrible” des vêtements de travail

Stéphane Vigliandi
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[Zepros Quo] Si les EPI ont enfin réussi à entrer dans les entreprises du Bâtiment (réglementation et document unique obligent), les vêtements de travail sont encore majoritairement vécus par les professionnels comme une contrainte. En France, la marque suédoise Blåkläder entend bousculer les habitudes.
Peu agréables à porter, pas toujours très pratiques et souvent en dehors des tendances de la mode, on les porte par obligation sur les chantiers tout en gardant à l’idée que l’on serait bien mieux dans un jean confortable. Pourtant, les vêtements de travail sont bien plus que des pantalons et des vestes très résistants. Et Blåkläder, depuis son arrivée sur le marché français il y a 10 ans, souhaite changer cette vision dépassée qu’ont les professionnels du Bâtiment. Pour cela, la filiale française (dont le CA a frôlé les 9 M€ en 2018) s’appuie sur deux piliers : des produits de très haute qualité et une communication franchement décalée.

Le “sourire” du plombier

Disposer d’un catalogue de produits haut de gamme, c’est bien. Les faire connaître, c’est plus compliqué. Dans la jungle de la communication multisupports, difficile de se faire une place et d’exister sans dépenser des budgets "stratosphériques" ! Alors pour marquer les esprits, Blåkläder joue avec des messages décalés qui interpellent. À l’instar de la dernière campagne de communication #anecdotedepros qui remet au goût du jour le fameux “sourire du plombier” avec le slogan : “Pourquoi s’habiller comme un amateur quand on est un pro”. Autre manière de se démarquer, la marque sera, pour la 2e fois consécutive, un des sponsors de Hellfest, le festival de musiques dites « extrêmes ». Enfin, le sport fait partie intégrante du dispositif, puisque la marque suédoise est également fournisseur officiel de l'équipe de France de handball. De quoi créer l’événement tout au long de l’année pour la marque qui célèbre ses 60 ans. Marc Wast
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Stéphane Vigliandi
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