Qalway, LA marque française de chaudières et radiateurs numériques

Aujourd’hui, Qarnot, le pionnier français du chauffage numérique, revendique 4,3 GWh de chaleur fournie et 1 000 logements et bureaux chauffés. Pour l’heure ses solutions sont seulement déployées dans 6 régions françaises (Île-de-France, Hauts-de-France, Auvergne-Rhône-Alpes, Pays de la Loire, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie), mais les choses devraient rapidement évoluer avec le lancement de la marque commerciale Qalway.

Deux produits sont aujourd’hui proposés sur le site Internet de la marque : les chaudières numériques et les radiateurs (numériques aussi). La chaudière embarque 24 processeurs informatiques entourés d’un système de récupération de chaleur qui évacue plus de 95 % de l’énergie dissipée. Grâce à une connexion par fibre optique, chaque unité QB.1 se montre capable de fournir jusqu’à 2 kW de puissance, ce qui est suffisant pour élever la température de l’eau jusqu’à 60 °C. L’installation est, en général, dimensionnée pour fournir « le talon de l’ECS, le retour de la boucle d’eau chaude ou le préchauffage d’eau » avec un minimum de 4 kW (soit 2 QB.1). Ce qui permet à Qalway de viser un large marché allant du logement aux bureaux, en passant par les équipements publics, les piscines, les hôtels et les réseaux de chaleur.

De son côté, le radiateur numérique QH.1 se concentre sur l’échauffement de l’air ambiant, toujours au moyen de processeurs. Sa puissance de 650 W, le rend plus adapté au marché de la rénovation. Conçu et développé à Montrouge, il est assemblé en France (Indre-et-Loire, Maine-et-Loire, Gironde). Les deux machines, chaudière et radiateur, bénéficient du Titre V Système, permettant de déroger à la RT2012 en reconnaissance de leur performance énergétique. Qalway met également à profit ses années d’expertise pour accompagner les clients potentiels (bailleurs, promoteurs, collectivités…) dans leurs projets en fournissant une pré-étude de dimensionnement en amont des négociations commerciales, avant de plancher sur un cahier des clauses techniques particulières, des schémas hydrauliques ou l’intégration opérationnelle dans le pilotage thermique du bâtiment.